Les structures féminines capitalisent l’importance de la journée dédiée à la femme du monde

Publié le par cité africaine

L’implication de la députée nationale Yvette Mbadu : une interpellation sur l’avenir de la femme du Kongo Central

Les femmes de la province du Kongo Central réunies dans différentes structures socioprofessionnelles n’ont pas croisé les bras pour penser au pagne spécifique à cette dédicace internationale voulue par les Nations Unies ce, depuis de longues années. Les raisons de cette journée sont bien connues de tout le monde. Ainsi, pour les mamans de la province chère à Kimpa Vita, ce mois de mars a été une opportunité pour se regarder, s’interroger, se faire une introspection et trouver des solutions aux multiples problèmes qui freinent, tant soit peu, l’élan effréné à prendre pour se développer et être considérée dans tous les cercles de discussions. Cette journée a été pour toute femme qui se veut un vrai partenaire de l’homme dans le cadre de la parité un temps d’arrêt pour se parler dans le sens de voir ce qui manque pour réussir les objectifs à atteindre de manière directe et indirecte.

Toutes les rencontres organisées dans le cadre de cette journée internationale de la femme ont été mises en contribution pour s’inviter à comprendre que la gent féminine ne doit pas croire que l’homme lui préparera une place juteuse au sein de la société.

L’implication de l’honorable Yvette Mwanga Mbadu, députée nationale, élue de Boma a été d’un grand apport dans la mise en question de la problématique de la femme au niveau du Kongo Central. Elle a pris ses sœurs de toute la province par des sentiments bien justifiés pour réellement se faire un nom dans cette partie de la République Démocratique du Congo par les différentes valeurs socioprofessionnelles dont chacune dispose. La femme du Kongo Central, ne cesse-t-on de le remarquer, est capable de beaucoup de choses mais elle ne se décide pas encore à se resserrer les coudes pour se constituer à une force de pression socioprofessionnelle dans tous les domaines où elle évolue chaque jour.

La femme du Kongo Central se manifeste dans plusieurs activités tant formelles qu’informelles dont les dividendes permettent aux familles de survivre. Maintenant, elle doit s’arranger avec toutes les dispositions en sa position pour refuser catégoriquement, arguments solides en mains, de continuer à faire la marche à pieds en faveur des hommes politiques.

Le mois de mars n’ayant que 31 jours, la femme du Kongo Central s’engage résolument à mener des actions à impact visible – miroir de sa détermination de ne plus être la même à travers les âges. La sensibilisation faite par Yvette Mwanga Mbadu en sa qualité également de la première dame du Kongo Central est une voie qu’elle a ouverte pour ses sœurs de tous les âges. Car, dans tous ses propos auxquels il a été ajouté d’autres considérations relatives au combat que mènent les structures féminines provinciales, Yvette Mwanga Mbadu est dans cette logique de voir la femme s’affirmer davantage en se prenant en charge pour une éventuelle victoire issue de son combat quotidien. C’est par cette mise en commun des stratégies que la femme du Kongo Central sera différente de celle d’aujourd’hui qui vit dans des doutes pour se manifester dans certaines structures politiques à tous les niveaux, a indiqué un agent féminin de l’administration publique.

Et, une femme œuvrant dans la police nationale congolaise dans un des commissariats de la ville de Matadi reconnaissant qu’elle n’est pas électrice souhaite que les femmes parviennent à voter pour des femmes ayant des qualités à rivaliser avec celles des hommes. Que chaque femme de se donner la main pour être une force déterminante pour une émergence à laquelle la gent féminine du Kongo Central participera, a conclu une jeune journaliste de la presse privée de Boma.

LuZolo N’Zeka

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