Bas-Congo / SOCIR : une transformation à impact visible Le nouveau Pad, Théodore Nana Mungiele, tient mordicus à sortir son entreprise des sentiers battus

Publié le par citaf

L’environnement industriel de la Province du Bas-Congo sera sous peu enrichi de nouvelles usines de production de bitume, de production de gaz industriel ainsi que de fabrication des fûts métalliques. Cette initiative de transformation à impact visible de la Société Congolaise des Industries de Raffinage, autrefois connue sous l’appellation de ‘’Société Congo-Italienne de Raffinage’’, porte la marque du Président Administrateur Délégué, Théodore Nana Mungiele. Placé sous le signe d’une transformation devant sortir cette entreprise de l’oubli, le mandat de ce nouveau PAD s’inscrit en droite ligne de la vision du chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, axée sur la Révolution de la modernité. D’intenses efforts sont conjugués à cet effet à la SOCIR par ce capitaine d’industrie. Rien n’est donc laissé au hasard pour mériter de la confiance du chef de l’Etat et du gouvernement de la République. Il faudrait vraiment souffrir de cécité ou être de mauvaise foi pour ne pas voir ce qui se réalise déjà à la Socir, dont le siège d’exploitation se trouve basé à Muanda, sur le littoral. Théodore Nana Mungiele fait montre d’un sens de management éprouvé au bénéfice de la Socir, une société résolument engagée dans une nouvelle ère de transformation qualitative. Un agent de gardiennage rencontré dans les installations de la SOCIR est formel à ce sujet. Depuis la nomination du nouveau Pad, reconnaît-il, la Socir est sur la bonne voie. De profonds changements se sont nettement opérés. Le capital humain est réellement pris en compte à travers une bonne gestion, avec des actions de grande envergure qui frappent aux yeux et se passent de tout commentaire. A Kinlao-lez-Moanda, un autre agent expérimenté ne tarit pas d’éloges : le gouvernement central ne s’était pas trompé en portant son dévolu sur Théodore Nana au sommet de la Socir, dit-il. Cette entreprise était, à juste titre, considérée comme un véritable canard boiteux. Aujourd’hui, elle présente un visage plein de promesses, grâce au génie de Théodore Mungiele Nana qui se bat bec et ongles pour la sortir du profond trou qui a failli la faire disparaître. Le redressement se fonde d’abord sur un nouveau style de conduite des hommes qui a fait renaître le goût au travail, tout en amenant les cadres et agents à tous les niveaux à se sentir utiles tant pour leur entreprise que pour la nation congolaise. Faire travailler les méninges pour sortir de la routine, envisager des voies innovantes pour le progrès, tel est le leitmotiv de l’actuelle équipe dirigeante de la Société Congolaise des Industries de Raffinage. Tout dernièrement, l’on a assisté à l’accostage au Port de Boma d’un deuxième lot de 11 contenairs, remplis de matériels destinés à l’installation des usines de bitume, des gaz industriels et de fabrication des fûts métalliques.. Intervenant alors, dans le cadre de la mise en œuvre du projet des émulsions de bitumes aux polymères , le directeur du siège d’exploitation, André Nkote Mavungu, a expliqué que le projet dont la Socir a l’honneur d ‘amorcer la matérialisation à partir de ce jour, après la construction du bâtiment et des aires de stockage à Moanda, est né à la suite du vent de la révolution de la modernité qui a soufflé sur cette Société dont les activités industrielles sont restées en veilleuse depuis des décennies. » Le directeur Nkote Mavungu a fait observer que « c’est grâce à la volonté et la détermination du président de la République, Joseph Kabila Kabange, à qui nous présentons nos hommages les plus déférents, que le gouvernement de la République a manifesté sa ferme volonté de réhabiliter progressivement la Socir dans sa vocation industrielle. Le lancement de ces projets ainsi que le montage financier qui s’en est suivi pour leur financement ont bénéficié de l’implication, du suivi et de l’accompagnement, sans failles, du gouvernement, sous la direction du Premier Ministre, Matata Ponyo Mapon ». Il n’a pas manqu » d’ exprimer au gouvernement les remerciements les plus sincères de la part de la haute direction de la Socir. Projet de la révolution de la modernité Le projet des émulsions de bitumes aux polymères permettra à la Socir de produire localement, à coût réduit, les bitumes émulsionnés à froid, conservés à froid sur plusieurs mois, utilisables à froid, sans effets négatifs sur la santé des utilisateurs et encore moins sur l’environnement. Le directeur du siège d’exploitation précise : « Les unités de production disponibles pour l’instant permettront de produire 40 Tonnes d’émulsions de bitume par heure. Elles serviront principalement aux entretiens et maintenance des routes, à la construction des routes, à la production des enrobés à froid à partir d’une unité de production mobile de 100 Tonnes l’heure qui arrivera dans quelques semaines, la stabilisation des routes de desserte agricole et aux applications diverses d’étanchéité. » En outre, rassure André Nkote, cette usine va s’appuyer sur un parc des réservoirs de stockage de 160 Tonnes d’intrants et de 270 Tonnes pour les produits finis qui seront soutenus par un approvisionnement direct en fûts métalliques en raison de 1000 fûts par jour produits par la deuxième usine sœur. Il y a lieu de souligner que tous ces projets constituent la renaissance de la Socir industrielle. Toutefois, signale-t-on, sur la feuille de route du gouvernement, via le ministère des Hydrocarbures, se trouvent inscrits deux autres projets importants à réaliser par la Socir. Il s’agit de l’usine de production des gaz industriels, l’acétylène, l’azote et l’oxygène ainsi que de la réhabilitation de la raffinerie dont le processus de financement vient aussi d’être déclenché.. Grâce à ces instruments, la Socir pourra, en sus de ses activités actuelles de stockage et de transport des produits pétroliers sur l’axe Banana-Ango, contribuer significativement à la reconstruction des infrastructures routières et aéroportuaires, à la création des emplois directs et indirects ainsi qu’à l’augmentation de la valeur ajoutée pour soutenir la croissance économique. « Face aux résultats obtenus, la Direction Générale de la Socir ainsi que tout son personnel saisissent cette occasion pour remercier particulièrement Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, pour avoir autorisé le gouvernement de booster la relance des activités industrielles de la Société dans la droite ligne de la dynamique de la Révolution de la modernité dont il est le concepteur » a conclu le Directeur de siège. A la même occasion, il a réitéré les mêmes remerciements aux gouvernements national et provincial pour toutes les facilités accordées dans la mise en œuvre de ces projets. Il remercie également toutes les entreprises et services publics de l’Etat intervenant au port pour s’être activés afin de faciliter le traitement des dossiers liés à ces projets. Satisfecit de la population de Boma Témoin des efforts incontestables que déploie la SOCIR, le Maire de Boma, Marie-Josée Niongo Nsuami, a exprimé l’entière satisfaction de la population de son entité territoriale. Pour elle, si la Socir renaît de ses cendres , c’est bien grâce à une vision, celle de la révolution de la modernité, derrière laquelle sont rangés le Pad et toute son équipe. Par cette adhésion, la Socir cesse d’être un entrepôt ou transporteur des produits pétroliers pour revenir à sa mission première. Sous sa forme actuelle, a-t-elle dit, Socir revient aujourd’hui pour se lancer dans les activités qui prouvent réellement qu’elle a une vocation industrielle à travers les différentes usines de raffinage et de bitumage. Tout en mettant en exergue la création de nouveaux emplois, Marie-Josée Niongo Nsuami a salué le patriotisme du Pad, Théodore Nana Mungiele. La SOCIR fait maintenant la fierté du Chef de l’Etat, de la Province du Bas-Congo, de la Ville de Boma et du Territoire de Muanda. Elle a demandé au directeur de siège de transmettre également au Pad les encouragements du gouverneur du Bas-Congo, Jacques Mbadu Nsitu. A son retour de son séjour à l’étranger, le gouverneur a promis descendre à la Socir pour voir de visu la résurrection de cette entreprise sous le mandat du nouveau Pad. La Socir, devenue une poule aux œufs d’or, est sur une nouvelle voie. Luzolo Zeka ++++++ Pourquoi en vouloir au Pad Théodore Nana Mungiele ? La seule politique basée sur le principe de « ôte-toi que je m’y mette » semble être utilisée à Moanda. Les détracteurs de l’actuel Président Administrateur Délégué, Théodore Nana Mungiele utilisent tous les moyens pour faire déboulonner ce dernier. Il lui est mené un combat sans aucune raison plausible. Leur objectif est qu’il soit démis de ses fonctions. Cette guerre n’a pas sa raison d’être pour la simple raison que le nouveau Pad est hanté par un esprit managérial éprouvé. Il se sert de tous les moyens dont dispose son entreprise pour répondre aux missions et objectifs pour lesquels elle a été créée. La transformation qui s’observe nuit et jour ne plaît pas. Ces détracteurs de l’intérieur tout comme de l’extérieur continuent à chercher des poux sur la tête d’un chauve. Cette réalité est perceptible dans le chef de certaines personnes considérée, à juste titre, comme de vrais ennemis de la révolution de la modernité prônée par le Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange. Certes, le choix porté par les autorités compétentes sur la personne de Théodore Nana Mungiele est lié intimement aux valeurs positives dont il fait montre. La hiérarchie ne lui reproche rien. Elle apprécie la gestion qu’il a imprimée dans le cadre de la renaissance de la Société Congolaise des Industries de Raffinage. Tous les coups préparés contre Théodore Nana Mungiele ne réussiront pas, dixit un habitant de Moanda. Ce dernier s’est dit être témoin oculaire de tous les efforts de l’actuelle équipe mise en place dans le souci de faire jouer à la Socir son rôle premier, ce, au bénéfice de la République Démocratique du Congo. Tout est visible tant au sein de l’entreprise que de la population locale. Pour preuve, le Pad Nana Mungiele ne ménage aucun effort pour faire parler cette entreprise pour laquelle , pendant plusieurs années, on n’avait plus de considération. Elle n’existait que de nom, avec des responsables dont la gestion démontrait une irresponsabilité caractérisée par un manque criant de vision . Le personnel n’était jamais pris en compte dans cette gestion calamiteuse. C’est ce qui justifie, entre autres, le dévolu porté sur Nana Mungiele, lequel se dépense sans compter pour l’atteinte des résultats positifs. Il faut être de mauvaise foi pour ne pas reconnaître l’application à SOCIR de la vision du chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange, relative à la révolution de la modernité. Le chien aboie, la caravane passe C’est le cas de le dire, au vu de ce qui se passe chez certaines personnes jalouses jusqu’à la moelle épinière de la transformation qu’apporte le Pad de la Socir. Au moment où des groupes de gens bien identifiés saluent l’avènement de Nana Mungiele à la tête de la Socir, d’autres personnes se mettent à bouder. Elles organisent des messes noires pour que finalement, elles voient Nana Mungiele. Or, ce dernier parle peu et invite tout le monde à le juger sur base de ce qu’est en train de devenir la Socir « new look ». Il est vrai qu’au jeu des pronostics au mieux des sondages, Nana Mungiele aura bien compris que son passage au sommet de cette entreprise devra laisser des traces indélébiles. Au siège d’exploitation à Moanda, tout bouge dans le sens de remettre cette entreprise sur orbite. La feuille de route de la Socir est soclée sur la bonne gouvernance, suivant les recommandations et instructions de la haute hiérarchie visant à la résurrection de l’entreprise. C’est ce qui se réalise déjà à travers plusieurs actions à impact visible. Il s’agit notamment de la création de nouvelles usines de bitume, de l’usine des fûts, l’usine de production de gaz industriels et aussi de la réhabilitation de la raffinerie avec de nouveaux équipements pour une meilleure rentabilisation de la production. Le comité syndical de la Socir reste reconnaissant et confiant aux efforts et au souci majeur du Pad et de tous ses collaborateurs. Atouts non des moindres que Théodore Nana Mungiele a impulsés en faveur de l’ensemble du personnel en particulier dans le but de redonner, tant soit peu, le social, le moral et le dynamisme dans le travail. Une attention particulière est observée dans la gestion de l’actuelle équipe dirigeante en ce qui concerne les projets sociaux de la population de Muanda. Il s’agit visiblement du forage de deux puits d’eau potable au Quartier populeux de Makelekese et au Camp Socir sans oublier la construction d’une nouvelle habitation pour le Chef du village riveraine à la route de Kinlao non loin de la raffinerie. Par ailleurs, à la Socir, l’on salue cette politique sociale de la nouvelle équipe , ainsi qu’elle apparaît encore à travers l’ouverture du mess pour travailleurs fermé depuis 15 ans. Désormais, les cadres, agents et autres personnes œuvrant au niveau de Kinlao peuvent y prendre leur repas. La réhabilitation des terrains de basket-ball et volley en plein cœur du Complexe scolaire, Gscom, est à mettre au crédit des nombreuses actions justifiant le patriotisme et l’expertise de celui que certains cherchent à faire déboulonner pour des intérêts égoïstes. On lui fait la guerre parce qu’il prouve qu’il est un bon élève de la vision du Chef de l’Etat, Joseph Kabila Kabange. Haro donc sur la distraction, les coups de bas étage, les découragements, l’intox et autres stratégies ne permettant pas à l’actuelle équipe dirigeante de se concentrer sur ce qu’elle est appelée à faire selon sa feuille de route. Le gouvernement de la République est sensibilisé par tout ce qui se vit actuellement au sein de la Socir dont l’apport de la nouvelle équipe dirigeante n’est pas à démontrer. Interdiction formelle de prêter oreille à ce groupe de personnes frondeuses et mal intentionnées, véritables adversaires acharnés contre la révolution de la modernité. Toutes les réalisations enregistrées chaque jour sont mal vues pendant qu’elles raffermissent la paix sociale au sein de la Socir. Climat ayant fait défaut depuis plusieurs années, confirme un membre de la délégation syndicale qui pense que la Direction générale est à accompagner et à soutenir dans ses inlassables efforts. « En un mot comme en mille, il n’y a pas à en vouloir au Pad Nana qui est en train de redonner vie à une entreprise dont l’on percevait déjà la disparition », a ajouté un cadre ayant requis l’anonymat. Honni soit qui mal y pense ! Serge Ntula Sambu
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